BRÈVES DE NUIT

"BRÈVES DE NUIT"

COMÉDIE DE JACQUES HURTAUD

 

Lorsqu'une voisine arrive chez vous en pleine nuit complètement ivre alors que vous attendez avec impatience le retour de votre infidèle de mari, vous savez que la nuit va être longue ... Mais quand en plus elle veut absolument passer par votre balcon pour pouvoir rentrer chez elle alors que vous n'en avez pas, là vous êtes sûre de ne pas pouvoir dormir !

6 JUILLET A 21H30

SAINTE NATHALENE (Devant l'église et repli salle des fêtes en cas de pluie)

19 JUILLET A 21H30

CREYSSE (LOT) SOUS LA HALLE

3 AOÛT A 21H30

AILLAC (SOUS LA HALLE)

24 AOÛT A 21H

TERRASSON (PLACE DE LA MARZELLE)

MONOLOGUES DU VAGIN

17 AOUT A CREYSSE (46) (sous la halle) 21H30

MONOLOGUES DU VAGIN D'EVE ENSLER

 

Il s'agit de la célébration touchante et drôle du dernier des tabous : celui de la 

sexualité féminine. Malicieux  et impertinent, tendre et subtil, le chef-d’œuvre d'Eve Ensler donne  la parole aux femmes, a leurs fantasmes et craintes  les plus intimes. Qui lit ce texte ne regarde plus le corps d'une femme de la même manière et ne pense plus au sexe de la même manière. 

 

Avec Marie-Laure Monturet et Véronique Cantelaube

Mise en scène de Pierre Le Rouzo

21 AOUT AUX ENFEUS (dos de la cathédrale de Sarlat) A 21H

26 JUILLET A AILLAC (sous la halle)

10 AOUT AUX ENFEUS

"HUIS CLOS" DE JEAN-PAUL SARTRE

 

Trois personnages se retrouvent à leur mort dans une même pièce. Ils ne se connaissent pas, viennent de milieux très différents, ne partagent ni les mêmes convictions ni les mêmes goûts. Dans cette pièce débute alors un procès à huis clos où chacun des trois personnages juge et est jugé sur les actes qui composent son existence. Jean-Paul Sartre nous décrit ici « son enfer » avec brio dans lequel il n'y a ni bourreau, ni instruments de torture physique : « l'enfer, c'est les autres ».

 

AVEC : CATHERINE MILHAC, PIERRE LE ROUZO, AGNES             FELIPE ET GUILLAUME MILHAC

 

MISE EN SCENE DE MARIE-LAURE MONTURET

16 AOUT AUX ENFEUS A 21H30

23 AOUT A SAINTE NATHALENE A 21H

"CELIMENE ET LE CARDINAL" DE JACQUES RAMPAL

 

Une pièce qui sublime le théâtre. En un jour, en un lieu, en une intrigue, c’est un classique… écrit en 1992.

 

Tout en alexandrins, le texte de Célimène et le Cardinal sonne comme une douce poésie très agréable à écouter. Elle fait un bien fou aux oreilles. Nous nous prenons au jeu et attendons sans cesse l’issue des phrases pour découvrir les rimes.

 

Dans cette histoire toute simple, suite du Misanthrope, les dialogues entre la malicieuse Célimène et l’énigmatique Cardinal sont beaux, intelligents, souvent drôles. Ils discutent de nombreux thèmes, de la religion surtout, opposent vice et vertu en alliant légèreté et traits d’esprit. Les grands préceptes de l’Eglise paraissent aujourd’hui désuets et c’est bien cela qui rend la pièce percutante.

 

Car derrière les propos bien formulés se cache une critique virulente du 17ème siècle, du temps de Molière, qui nous fait constater à quel point notre rapport au monde et à la religion ont changé ! A chaque époque ses problèmes.

 

Nous sommes surpris car la pièce nous emmène là où nous ne pensions pas aller. Même les derniers mots sont d’une beauté inespérée.

 

CRITIQUE DE LA RÉDACTION DE "AUBALCON.FR"